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conclusion

                                                  
CONCLUSION DE LA PÉRIODE CENTRALE :
DÉJÀ LA TROISIÈME PÉRIODE

 

 

 

Sommaire


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            
Ce dernier chapitre de la seconde période a donc passé en revue sept accents de la Pensée qui avaient peu de points communs entre eux et parfois même s'opposaient.
A tel point que ces trois siècles auraient pu être rattachés à la Troisième Période que nous allons désormais aborder.
les réponses inattendues et surabondantes apportées par la révélation évangélique et qui avait séduit la majorité des écrivains d'Europe pendant mille cinq cents ans vont être contestées.
Des philosophes vont vouloir réduire la destinée de l'homme à ses dimensions naturelles. Mais cette réduction naturaliste sera elle-même contestée par PASCAL ! Désormais plusieurs opinions seront défendues et ce pluralisme deviendra la caractéristique du monde contemporain.
Certes, la période que nous avons étudiée apparaît aux yeux d'un chrétien comme la Période centrale de l'Histoire de la Pensée, car elle a débuté avec la Révélation évangélique. Mais le temps où nous vivons nous permet, plus que les siècles qui ont précédé, de choisir après avoir pris contact avec les opinions très diverses.
L'étude des philosophies qui se sont succédé de 1600 à nos jours, nous fera passer des prétentions naturalistes à la mentalité contemporaine, sceptique et désespérée.
Chaque chrétien a, comme depuis 2000 ans, le devoir de faire connaître la révélation évangélique.
François Xavier, le dernier nom de notre panorama est un modèle pour nous tous. Il termine  la deuxième période, mais constitue un modèle pour tous les temps.

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